-
Et si dans 20 ans .... La réalité devenait celle-ci?
Les rayonnements sont - hormis les fréquences - de même Nature mais du fait de cette fréquence différente n'ont pas la même énergie intrinsèque (celle du photon) et sont donc classés en deux catégories : Les rayonnements IONISANTS ou NON ionisants (selon qu'ils arrachent un électron à certains atomes) .
Imaginons que les articles ci-après de" Sciences & Avenir" 2014 soient écrits en 2034 mais le terme "Ionisant" en moins puisque cette fois ,ENFIN ,les rayonnements, les irradiations concerneraient l'ensemble du spectre électromagnétique
En particulier lisez attentivement le paragraphe "Radiations" en imaginant qu'il comporterait l'origine de l’irradiation qui cette fois ne pourrait se cantonner à une origine médicale parfaitement définie mais bien à ce fameux "Electrosmog" que toute la population s'est ingéniée à répandre depuis 40 ans et qui s'avèrerait bien mal définie: Exactement le problème du à des accidents nucléaires comme Tchernobyl ou Fukushima qui nécessitent de longues campagnes de suivi individuel (mesures des doses de rayonnement ionisant reçues). Avec de plus la certitude qu'il s'agirait d'un grave problème de santé publique comme c'est aujourd'hui le cas pour les quelques malades des rayonnements ionisants....
Et si nos responsables politiques se décidaient à regarder le problème posé par ces rayonnements? Cela signifierait de prendre conscience et faire prendre conscience de la nocivité de la "mobilité" ultraconnectée sans la remettre totalement en question: Un usage "raisonné " du progrès qui suppose une formation initiale.
1- Faire cesser l’irradiation passive
Dans la mesure du possible chez soi, dans les églises, les hôpitaux d'éteindre le wifi, et passer en mode "avion" à défaut d'éteindre ses outils de communication sans fil. Cela suppose que les contrats filaires proposés par les opérateurs deviennent plus attractif que le seul contrat du mobile. (Proposition de forfait filaire illimité et volume de données en mobilité).
Cette mesure doit absolument être médiatisée et enseignée puis relayer sur les lieux concernés par affiche et contrôle si possible.
2- Interdiction à afficher dans les ascenseurs
3- Présenter et populariser des zônes "blanches" dans les transports (téléphones mais également objets connectables (ordinateurs, tablettes etc...)
4- Penser enfin aux "allergiques " : les EHS
- Se décider à admettre l'existence du SICEM
- Prendre en compte leur handicap dans les tâches de la vie quotidienne et enfin reconnaitre leur droit à la vie "normale" plutôt que de les abandonner à la "survie".
- Cela signifie "priorité" en milieu irradié mais également appliquer les normes ALARA
- Défendre l'existence d'une zone blanche par département comportant un lieu de vie socialement acceptable (§5)
5- Composition d'une zone blanche
- Rayonnement hyperfréquence (TNT, 2G,3G,4G etc...) très faible
- Interdiction de communication sans fil
- Lignes THT absentes
- Hébergement de type gite avec de nouvelles normes d'isolation électrique
6- Relation avec les hôpitaux et les transports "sanitaires"
L'équipement actuel constitue bien souvent une torture pour les électrosensibles qui s'ajoute à leurs problèmes communs, il faut donc:
- Que les portables et autres outils communicants soient éteints et utilisés dans une zone réservée (accueil)
- Que les dispositifs utilisés par le personnel soit soit analogique soit à très faible rayonnement
- Que le personnel soit informé dans sa totalité sur le résident EHS
- Que le lieu de résidence soit éloigné des transformateurs, ascenseurs, machines diverses